1990 - 2024: 34 ANS DE COMBAT CONTRE LA DICTATURE ET LA MALGOUVERNANCE AU CAMEROUN - 1990 - 2024: 34 YEARS OF FIGHTING AGAINST DICTATORSHIP AND BADGOVERNANCE IN CAMEROON

Stephane Nguemalieu by Stephane Nguemalieu | SDF-West | Cameroon

In the current socio-political context, only one mode of accession to the supreme magistracy has been used so far: accession through a legal transmission of power by the outgoing "resigning" president to the incoming president.

Since the 1990s and the advent of political pluralism, the mode of alternation through the ballot box has been explored unsuccessfully through elections. Faced with this situation, some politicians have come to believe that only a revolution could provoke and lead to alternation at the head of state.

Achille Mbembepar Achille Mbembe | 08/05/2020

Si je vous ecris, c’est d’abord pour vous rassurer. Je suis a Johannesburg. Je me porte bien, et je suis en sécurité. Les premiers qui sont venus a mon secours et qui m’ont prêté leurs voix, ce sont des savants, intellectuels, chercheurs, écrivains, artistes et diplomates israéliens, juifs, allemands et palestiniens. Certains d'entre eux, je ne les connaissais que de nom.

Vous savez combien nos voix sont fragiles, tant elles comptent si peu dans les rapports de force qui determinent le cours de notre monde. Vous savez par ailleurs combien il est facile de nous faire taire, meme lorsque nous avons des choses a dire. S'ils ont choisi de prendre publiquement la parole, c'est en tres grande partie parce qu'une tres grave injustice etait en train d'etre commise en plein jour, et ils n'auraient guere supporte de rester silencieux.

Figures : Joseph Mbah Ndam, le député du Mounchipou GatePar Roland TSAPI | Source: https://www.rolandtsapi.com

Homme de l’ombre du Sdf, ce fils de Batibo est décédé au moment où il était rejeté dans son village, laissant derrière lui un parti qui avait considérablement perdu du terrain. Il reste cependant celui qui, à la tête de son groupe parlementaire, a déclenché l’opération épervier qui a conduit tout un gouvernement en prison.

En 1990, quand le vent des libertés démocratiques souffle à travers le monde, le système gouvernant au Cameroun n’est pas prêt à se laisser entrainer dans cette voie. Pourtant près de 30 ans de règne du parti unique avait suffisamment fait de frustrés qui voulaient changer la donne. C’est dans ce contexte hostile que le Front social-démocrate lance ses activités comme parti politique à Bamenda le 26 mai. Celui qui prend les devants, s’est assuré qu’il est entouré de fortes têtes, des intellectuels et surtout des hommes de loi qui maîtriseront les subtilités du droits pour le défendre parti devant les tribunaux, parce que cela devait arriver. Parmi ces hommes de l’ombre de John Fru Ndi, se trouvait aussi un jeune avocat de 35 ans, Joseph Njang Mbah Ndam.

Lettre de l'Honorable J-M Nitcheu aux parlementaires qui ont voté la loi portant code général des collectivités territoriales décentralisées

Le régime de M. Biya, en complicité avec la majorité obèse et mal acquise du parti-Etat au Parlement, vient à travers l'article 246 alinéa 1 du Code  général des collectivités territoriales dècentralisées, de concrétiser son funeste projet de désintégration nationale et de catégorisation des citoyens camerounais.
 
Permettez-moi de revenir en arrière sur la construction d'un projet inavoué qui est aujourd'hui mis à nu. La Constitution du Cameroun, malgré diverses modifications, a toujours consacré le principe de l'égalité en droits et en devoirs des citoyens. Dans le Préambule de la Constitution de 1972, il était inscrit noir sur blanc: 
"Nul ne peut être inquiété en raison de ses origines".
 
Pour ce qui concerne la notion d'autochtonie,  les Nations Unies reconnaissent deux peuples autochtones au Cameroun à savoir les pygmées et les Bororos. Ce n'est malheureusement pas uniquement de ces deux peuples qu'il s'agit quand on parle d'autochtones dans ce Code général puisque le livre préliminaire ne nous renseigne pas sur le contenu du terme "autochtone" encore moins sur la notion de "originaire de la région ". Connaissant le logiciel insidieux en vigueur dans la démarche programmée du régime de Yaoundé depuis des décennies en matière stigmatisation de ce que ses idéologues appellent publiquement  "communauté en surnombre",  il y a lieu de s'inquiéter sur les réelles motivations de l'inscription de ces deux termes dans le dispositif législatif.
 

FOPOUSSI EvaristeSommes-nous déjà à l’heure du hooliganisme intellectuel? En effet, depuis hier, les talibans de tous bords qui ont envahi les réseaux sociaux depuis les élections présidentielles d’octobre 2018, uniquement pour terroriser ceux qui ne pensent pas comme eux, s’acharnent sur le journaliste Paul Mahel. Les fatwas vont dans tous les sens, avec a la pointe le même ayatollah qui a proféré des menaces de mort au Chairman Ni John Fru Ndi. Son crime, c’est d’avoir publié sur sa page Facebook un post anodin pour s’étonner de leur manichéisme qui les amène à condamner Joshua Osih aux géhennes de l’enfer pour un crime pour lequel ils tissent la couronne d’oliviers a Maurice Kamto. Pour ceux qui n’ont pas eu l’occasion de lire ce post, le voici :

Interview of SDF Senator Barrister Henry Kemende

La SG du SDF dans "Face à l'Actu" (VIDEO)

Ni J.F. Ndi talks with Mimi Mefo

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